Festi'Contes 2005
du 19 au 20 mars

Lorgues (83)
Espace
François Mitterrand

Pour cette première édition du Festi'Contes,
des conteurs de renom étaient au rendez-vous :

Lorgues
Le 19 mars à 18h00
" Le train des histoires ”
ouvrit la voie pour les plus jeunes avec le conteur
Jacques Bourgarel
que l’on ne présente plus dans la région
accompagné de l’excellent
Eric Frèrejacques
à l’harmonica blues.
" Les voyageurs du train des histoires
sont priés de monter dans les wagons.
Coup de sifflet, attention au départ…
La locomotive harmonica démarre.
Le train roule, roule…
Les vaches le regardent passer !
Des histoires à s'enflammer, à s'émouvoir,
à rire et à chanter… "

Lorgues
Le 19 mars à 20h30
“ Contes des monts d’Arrée ”
soirée adultes avec
une véritable légende vivante :
le conteur Breton à la barbe de druide,
Patrick Ewen
venu tout droit de ces Monts d’Arrée
(avec son violon…)
Après avoir longé la Nationale,
échappé aux cow-boys noirs et blancs,
ils arrivent en vue des montagnes rocheuses,
là où vivent les Indiens roses et violets :
au lieu-dit Plounéour Menez, dans les monts d'Arrée.
Ainsi commence l'aventure de Patrick Ewen,
conteur, chanteur et musicien du Centre
(Bretagne bien sûr !).
Enchanteur, menteur mais d'abord conteur,
Patrick Ewen stimule à merveille l'imaginaire,
nous transportant dans le monde féerique de sa Bretagne, terre de traditions qui charrient une histoire millénaire. Avec ses chansons aux accents de banjo, de guitare
et de violon, il nous fait tantôt étouffer un sanglot,
tantôt éclater de rire.

Lorgues
Le 20 mars à 17h00
" Contes Kongo "
spectacle familial
avec le conteur Congolais
Gabriel kinsa
Gabriel Kinsa, un maître du conte africain,
transporte l’auditoire au cœur de la forêt congolaise,
là où chaque pierre, feuille ou animal est doué de parole.
Surgissent d’étranges créatures
qui se métamorphosent sans cesse pour nous faire vivre
le quotidien des hommes et des femmes avec leurs rêves,
mais aussi avec les épreuves qu’ils doivent affronter.
Quelques accessoires plantent le décor :
un pagne tressé, une trompe en corne dont le son
rappelle à la vie «les morts qui ne sont pas morts»,
une table avec une natte et de quelques gris-gris. Irrésistible de drôlerie, Gabriel mime les métamorphoses d’un enfant insoumis, tour à tour graine d’arachide,
coq et crocodile. Une parabole sur le temps qui passe,
fait grandir ou vieillir, et une invitation au voyage.